🦁 Le Plus Beau Dans Tout Ça Tournée

Latournée des stades de Soprano est l'un des grands événements de ce mois de juin. Le chanteur marseillais ultra-populaire voit très grand. Avec 50 000 personnes pour l'acclamer, dans un costume d'astronaute, Soprano débarque sur scène. A ses débuts, en 1994, il n'imaginait pas réunir Réservezvos billets pour On s'en fout qu'ça soit beau ! - Théâtre Le Lucernaire à Paris sur BilletRéduc Prix réduits jusqu'à la dernière minute Paiement Sécurisé Leplus beau dans tout ça. Après dix ans passés à New York pour son travail de mannequin, le séduisant Matt est de retour en France. Il est déterminé à reconquérir la jeune et jolie Claudine, qui n'avait pas voulu le suivre outre-Atlantique. En son absence, celle-ci a refait sa vie avec Octave, un accordeur de piano cultivé et drôle. Louane Anne Peichert, dite Louane ou plus rarement Louane Emera a, est une chanteuse, musicienne et actrice française, née le 26 novembre 1996 à Hénin-Beaumont . Elle se fait remarquer en 2013 dans le télé-crochet The Voice : La Plus Belle Voix, puis elle obtient une plus grande notoriété en 2014 grâce à son premier rôle dans le Latournée en Europe et bientôt le Canada «Je reviens de plusieurs dates, dans le cadre de mes 35 ans de carrière, où j’ai beaucoup chanté auprès de la diaspora mauricienne. J’étais notamment à Paris et en Italie, en Catalogne aussi. C’était trop bien. Je crois que j’ai entrepris ces nouveaux voyages avec une certaine Quandça tourne dans le bureau ovale. 21 juillet 2022. Culte / Culture / News. Sur quarante-six élus à avoir exercé la magistrature suprême, dix (sans compter Clinton) auront entretenu une liaison assumée avec le cannabis. Soit un président aux yeux rouge pour quatre locataires de la Maison Blanche. Une inclinaison pour l’herbe et ses Enprincipe, c'est de l'acier trempé ressort donc assez dur. Mais ça peut se tarauder en y allant douuucement avec de l'huile. Et puis une vis dedans pour l'extraire si elle est dans un trou borgne. Si elle est dans un trou débouchant pas de souci, un coup de chasse. Silence! Ça tourne ! Et aaaaaction ! » C'est dans cette ambiance hollywoodienne que se sont réveillés hier matin les habitants de Castillon. En effet, une équipe de tournage avait pris place Maistout n'a pas été simple pour Keen'V. Il y a deux ans, la tournée qu'il avait prévue pour soutenir l'album "Thérapie", à la tonalité plus sombre, n'a pas rencontré le xr9M. Réunis sur SZR 2001, les quatre membres du S-Crew ont toujours les mêmes valeurs, mais plus le même impact. Fulgurances et morceaux sans relief cohabitent dans un album frustrant, parfois même creux. C’est l’histoire de quatre gosses, âgés d’une dizaine d’années, qui s’amusent à mimer un S » avec leurs doigts. Réunis au bord de la Seine, Mekra, Framal, Nekfeu et 2zer établissent alors les plans ambitieux d’une carrière qui s’élèvera sur deux décennies. Après Seine Zoo en 2013 puis Destins liés en 2016, le S-Crew a activé la machine a remonté le temps direction 2001, aux portes de Seine Zoo Records. Mais la promesse d’une flamme nostalgique est bien trop survolée et, témoin des trajectoires paradoxales de ses différents membres, SZR 2001 peine à renouveler l’identité parisienne qui faisait la force du collectif. En découle un album déséquilibré, avec quelques tableaux marquants dilués dans une masse trop indécise. SZR 2001, nostalgie à deux vitesses Tout commençait plutôt bien, pourtant. La promotion de SZR 2001, silencieuse mais spectaculaire, a reconduit une hype datée de six ans. Car depuis Destins liés, et la bruyante tournée qui a suivi, le S-Crew s’est éparpillé. Évidemment, le wagon Nekfeu, qui avait déjà un long train d’avance en 2016, a encore creusé l’écart. Mais surtout, la timide productivité de ses trois acolytes ne présageait pas vraiment un retour du collectif. Seul 2zer a fait un peu l’actualité, sans forcer. Mekra et Framal, eux, se sont contentés de rares singles. Malgré tout, fidèle à son histoire, le S-Crew a parcouru la capitale pour imaginer la bande-annonce nostalgique de SZR 2001. Puis, le clip de “22” a scellé un retour mature, engagé et minutieux. Porté par une topline efficace et un Nekfeu en patron, le morceau a poursuivi l’histoire amorcée par le teaser, articulée autour d’un accident de voiture. Finalement, il n’y a rien de tout ça dans SZR 2001. On attendait peut-être de la narration, de la nostalgie, une fibre parisienne à tort. Long de seize tracks, le projet prend la forme d’une compilation décousue où quelques rares sursauts surplombent une masse trop générique. Mais surtout, l’album est creux. Le brillant “Maintenant” et certaines phases au compte-gouttes maquillent un projet qui ne raconte pas grand-chose. Le S-Crew énumère en boucle ses valeurs, solidaires et fraternelles, poussées parfois de manière grossière, comme sur le redondant “Fight Club“, citant les règles surexploitées du film éponyme dans un refrain en cruel manque d’inspiration. Dans leurs textes, les membres radotent la même histoire, trop entendue, devenue trop plate. À les écouter, il n’y a rien de neuf sous le soleil depuis 2016. Mais même sans travestir son univers, le S-Crew avait de quoi inclure de nouveaux enjeux, liés à leurs nouvelles vies de trentenaires. Six ans plus tôt, Destins liés parvenait à s’équilibrer entre le quotidien parisien, les tentations d’évasion, le rapport aux femmes et la fierté d’une bande de potes solidaires. SZR 2001 amorce des bribes de thématiques, souvent supplantées par des couplets trop tendres. Plus que ça, c’est la cohérence globale du projet qui pêche, malgré le travail soigné du chef d’orchestre Hugz. Et là encore, ce nouvel opus souffre de la comparaison avec son prédécesseur, qui captait avec fidélité l’essence des artères de la capitale. SZR 2001 a le mérite de chercher à explorer autre chose le projet s’ouvre sur une production drill mélancolique avec le très réussi “N’oublie pas”. Mais le reste des tentatives ne transcende pas l’ambiance club de “Chez nous” est un peu stéréotypée, la formule ensoleillée de “Encore” pas franchement originale. Le S-Crew réussit finalement dans ce qu’il sait déjà faire le turn-up sur “Drap sur les opps”, la sincérité palpable sur “Maintenant”, le découpage de prod en équipe sur “Don Zoo”. S-Crew, justesse et équilibre En 2016, le S-Crew se reposait déjà énormément sur Nekfeu pour galvaniser son opus l’artiste entamait la plupart des morceaux et dominait globalement la répartition des couplets. L’écart de notoriété s’étant considérablement agrandi, SZR 2001 s’exposait à d’intrigants enjeux. Et à ce petit jeu-là, “22” s’est révélé plutôt rassurant, avec quatre performances abouties dans leur style. Mais l’album n’a malheureusement pas la même justesse. Nekfeu est trop écrasant et occupe 80% des refrains, selon les données recueillies par RapMinerz. Finalement, il détient quasi le pouvoir, tout au long du projet, de décider si un titre sera bon, ou non, par la qualité de sa performance. Et l’auteur de Les étoiles vagabondes, souvent brillant, a parfois ses faiblesses, que ses compères ont beaucoup de mal à combler. Pourtant, quand Nekfeu lâche du mou sur les refrains, ils laissent aussi ses potes s’illustrer Mekra est épatant sur “Maintenant”, 2zer est très efficace sur “Manque de sommeil”. En fait, généralement, tous les refrains sont bons, c’est surtout leur manque de liant qui fait défaut. Mais l’écueil principal réside dans les carences individuelles. Excepté l’immense couplet de Nekfeu sur “N’oublie pas” et quelques titres aboutis, “Maintenant”, “Drap sur les opps”, “Mauvais dans le fond”, “Don Zoo”, personne ne se distingue réellement. Le quatuor se fait même voler la vedette même en coup de vent, Alpha Wann a l’effet d’une bourrasque, et PLK a sorti ses plus belles rimes pour faire honneur à ses hôtes. Pour le reste, les performances sont au mieux correctes, au pire décevantes. Si rien n’est évidemment catastrophique, trop de morceaux manquent de relief, sur le fond et la forme, pour un album qui prétend conclure une trilogie entamée par deux opus solides et cohérents. Ainsi, comme semble le suggérer la dernière pièce du projet, le S-Crew achève un beau chapitre du rap français, malgré quelques ratures sur les dernières pages. L’album justifiera évidemment une tournée, permettant à ses membres de se retrouver sur scène, avec leurs fans. Certains titres y trouveront probablement un nouveau souffle, comme sculptés pour la foule. Puis les chemins des membres interpelleront. Mekra, Framal et 2zer se sont trop peu illustrés sur le projet pour prétendre à une hausse significative de leurs fan-bases. Quant à Nekfeu, une fois digéré, il sera bien difficile d’espérer que SZR 2001 contienne indéfiniment la patience de son public, qui attend depuis 2019 le successeur de Les étoiles vagabondes. Écoutez SZR 2001 du S-Crew Accueil > Art > Artistes > Cali, électron libre au talent fou – Festival de Lacoste le 9 août En fait tu déshabilles les chansons et tu les rhabilles pour aller soit au bal, soit avec une nuisette, soit ailleurs… J’adore ça en fait, j’adore cette idée-là. J’adore me promener sous plein de formes. » Même si l’esprit de Cardin est toujours là, Rodrigo Basilicati-Cardin, Directeur artistique et successeur du grand homme de la haute-couture, fait souffler un vent de fraicheur et de renouveau sur le prestigieux Festival Lacoste créé par Pierre Cardin, au cœur du Luberon, il y a plus de vingt ans. Le 9 août 2022, à 21h 30, Cali, en concert piano-voix, est invité sur la scène du Festival. Cali, en concert piano-voix, invité en duo avec Augustin Charnet au piano au Festival de Lacoste, le 9 août 2022 à 21H30. Une tournée 2022 qui s’impose chez le Marquis de Sade, lors des festivals d’été en Provence. Cali en concert au Festival de Lacoste 2022 Un talent à fleur de peau Pas d’entre deux pour Cali, on ne peut que l’aimer car il plait, toutes générations confondues. Chanteur, compositeur, interprète, musicien, écrivain, son talent et sa renommée dépasse nos frontières. Pour le public, Cali est synonyme de liberté, d’engagement, de valeurs, mais surtout, de talent. Orphelin dès l’âge de 6 ans, il a fait de cette blessure une force qui le pousse à se donner à corps perdu, constamment à la recherche du bonheur. Venir au concert de Cali, c’est se préparer à une soirée qui, une fois encore, fera frémir les étoiles au-dessus de ce magnifique écrin de Lacoste qu’est le château du Marquis de Sade. Cali, un chanteur engagé Bruno Caliciuri, Cali, est né le 28 juin 1968 à Vernet-les-Bains, près de Perpignan. Le contraste entre l’orchestration impeccable de ses musiciens et sa voix grave sur des textes aux rythmes asymétriques et boitillants est la griffe même de Cali. Ses concerts sont réputés pour leur intensité et leur énergie. Cali s’engage corps et voix face à son public adepte des bains de foule, et des bis jusqu’à extinction de voix. Il a reçu les prestigieux Prix Constantin et Vincent Scotto 2004. S’inscrivant dans la tradition nationale des chansonniers engagés, Cali sort du moule de la nouvelle chanson française » en 2008, exposant cette fois plus que son intimité ses idées. Ainsi, L’Espoir, dont le titre est une référence à un album de Léo Ferré 1974, contient des hymnes aux lendemains qui chantent, notamment la chanson-titre et le deuxième single 1000 cœurs debout ». Impliqué dans diverses causes sociales, ses collaborations musicales sont ancrées dans le terreau fertile de l’amitié. Cali témoigne d’une maturité admirable au travers de ses textes toujours justes, en équilibre entre sensibilité et pudeur. S’il est un électron libre, c’est l’humanisme qui le porte et c’est l’amour, toujours, qui inspire Cali. Nous l’avons interviewé le jour de la disparition de la chanteuse Dani. Bouleversé, ému, il a tout-de-même voulu tenir ses engagements et nous répondre. Professionnel, mais d’une tendresse absolue, Cali est un artiste qui a du génie, mais c’est aussi un homme vrai qui ne cache pas ses émotions. Ne pas cacher son chagrin, c’est cela la véritable élégance, merci Cali. Cali au Festival de Lacoste 2022 pour un concert piano-voix Danielle Dufour-Verna/Projecteur TV –Bonjour Cali. Ravi de vous interviewer une seconde fois à quelques années de différence. Vous allez bien ? Cali –Oui, mais je suis très triste. Dani est parti, c’est ma copine et je suis bouleversé. DDV – Vous voulez en dire ici quelques mots pour elle ? Baisers d’amour, baisers d’amour’ les derniers mots de Dani Cali – Dani était quelqu’un d’incroyable, atypique, jusqu’au bout. Elle croquait la vie à fond avec une tendresse infinie. Elle finissait toujours ses messages par Baisers d’amour, baisers d’amour’, voilà. On se voyait beaucoup à Perpignan et quelquefois à Paris. Ce qui me plait chez elle, c’est qu’on ne peut pas la classer, elle était très rock-en-roll, très punk et très tendre à la fois. Elle a une voix inimitable, j’ai eu la chance d’écrire pour elle et on a fait pas mal de scène ensemble, des duos comme ça. On a pensé à un truc ce matin à la maison, quand ma fille Coco est née, Dani a tenu à ce que ce soit elle qui lui écrive la première lettre. C’est Dani, ça, vous voyez. Ma Dani me manque et je l’aime. DDV – Difficile, après une telle déclaration d’amour de continuer l’interview. Cali –Non, pas du tout. DDV –Cali, vous serez au Festival de Lacoste le 9 août. Cali – C’est une amie programmatrice qui m’a dit, cette année il y a Depardieu, Adjani, qui vont passer et d’autres beaux noms. Ils ont adoré ce que tu as fait sur Léo Ferré et la personne qui gère ça adorerait que tu le fasses au Festival de Lacoste. En ce moment, je ne suis pas du tout sur Léo Ferré, je fais mes chansons, mais je vais en profiter pour revenir un peu sur cela. Je vais faire quelques Léo Ferré en même temps que mon répertoire. Ça m’a touché et je me suis dit que c’était l’occasion de refaire un petit coucou à Léo. Je suis ravi d’aller là-bas, complètement ravi. DDV –Vous êtes petit-fils de communiste italien engagé volontaire dans la guerre d’Espagne, est-ce que votre part d’italianité résonne avec celle des parents de Cardin, fuyant l’Italie de Mussolini en 1924 ? Cali – Ce qui résonne pour moi, c’est que j’ai toujours entendu à la maison par mon père et ma tante, les deux enfants de Giuseppe Caliciuri, qui disaient que, en fait, la vraie question c’est, pourquoi il est allé se battre contre tous les fascismes, c’est parce qu’il ne voulait pas que d’autres peuples subissent ce qu’ils subissaient avec Mussolini. Ça résonne donc de la même façon. Mon grand-père ne voulait pas que les gens vivent ce qu’il était en train de vivre là-bas. Oui, sans se connaître, ça me rapproche énormément. DDV –Saviez-vous que Pierre Cardin adorait les chansons à texte et notamment Avec le temps’ de Léo Ferré ? Cali –Cela, je l’ai su quand on en a parlé pour jouer au Festival de Lacoste. Mon invitation est motivée, aussi, par le fait que je puisse jouer du Léo Ferré. DDV –Vous connaissez le lieu ? Cali –Non, je sais, à priori, que c’est magnifique, mais je ne connais pas. DDV – Un piano-voix, c’est un concert assez atypique… Cali – J’ai toujours dit que le héros ce n’est pas le chanteur, ce sont les chansons. Là, je suis en tournée très rock avec un groupe mais à côté je fais du piano-voix, je vais jouer avec un orchestre philharmonique cet été. J’ai une tournée que j’ai arrêtée au printemps et que je reprends à l’automne où je suis seul en scène, je fais théâtre et chansons. Tout ça me plait parce qu’en fait tu déshabilles les chansons et tu les rhabilles pour aller soit au bal, soit avec une nuisette. J’adore ça en fait, j’adore cette idée-là. J’adore me promener sous plein de formes. DDV –Toutes vos chansons parlent d’amour et de liberté, qu’est-ce-qui vous inspire ? Le mal de notre société, c’est la solitude. » Cali – On prend tout ce qu’on a sous la main, c’est-à-dire ce qui tombe dans le cœur et dans le ventre et qui m’aide à supporter cette vie. On vit, on meurt, il faut qu’il se passe des choses extraordinaires et aujourd’hui il ne se passe pas de choses vraiment extraordinaires. Ce qui me plait, ce sont les chansons qui arrivent. Oui, l’amour, parce qu’il n’y a que ça. Les gens me disent mais vos chansons ne parlent que d’amour. » Je dis, oui, c’est évidemment le plus important, car quand on est aimé par quelqu’un ou quand on aime quelqu’un, c’est toujours la petite braise qui est allumée. Le mal de notre société, c’est la solitude. Pour moi, les chansons qui parlent d’amour, ça rassemble énormément. Encore une fois, hier, on m’a arrêté dans la rue pour me dire merci et ça m’a fait du bien parce que c’était juste ça, c’était juste un merci. Moi je remercie évidemment les gens qui sont près de moi, en concert, et qui chantent avec moi. Ce sont vraiment des moments fous. Deux heures, deux heures et demie, trois heures, ce sont des moments d’ivresse, des moments où les gens pensent à quelque chose de bon. C’est beaucoup d’émotion pour moi de le ressentir. Oui, ce sont les chansons qui arrivent comme ça et parfois il y a des choses politiques, parfois des choses sociales. Il ne faut pas les cacher, l’idée c’est d’être sincère. J’essaie d’être le plus sincère possible, de ne pas prendre les gens pour des cons. Quand on vit avec sincérité, c’est là que ça devient beau. DDV – Lors de ce Festival, Gérard Depardieu sera en scène avec son Barbara. Cali – Ah, génial ! Il parait que c’est extraordinaire ! DDV –A ce propos, bien que très différents à bien des niveaux, vous vous ressemblez, Depardieu et vous, sur beaucoup de points. Bien sûr, il y a le Depardieu des Valseuses avec cette liberté absolue, ce petit côté baroudeur des débuts, mais il y a surtout la même sensibilité à fleur de peau, comme une fragilité, la même tendresse… Cali –Je suis admiratif de cet homme-là. Je suis admiratif parce que, c’est comme une Dani, vous voyez, et ce mot, ce goût de la liberté, se dire, qui a droit à dire fais ci, fais ça ». Il faut respecter les gens mais il faut aussi respecter sa propre vie. Et Depardieu c’est quelqu’un comme ça, libre. Le gars, il vient de nulle part et il perce le monde, il y a une vraie sincérité. DDV –Une vraie sincérité et une vraie tendresse… Cali – Je suis d’accord. Ça me touche beaucoup que vous le pensiez car je l’aime beaucoup cet homme, en fait, sans l’avoir encore croisé. Je suis honoré par ce que vous dites, ça me touche beaucoup. DDV – Quand on a perdu sa maman à l’âge de 6 ans, comment remplace-t-on la tendresse ? Je trouve qu’instituteur, institutrice de cours préparatoire, c’est le plus beau métier du monde, parce que tu donnes la lecture et l’écriture. » Cali – On ne la remplace pas. C’est une quête de quelque chose qui, quelque part, n’a jamais existé. Je croise des dames qui auraient l’âge de ma maman aujourd’hui et je me dis, elle serait comme ça ma maman peut-être, est-ce qu’elle serait fière. Et d’un autre côté, je me dis que peut-être je suis allé chercher une voix qui est un peu compliquée pour des parents. Quand on va sur la route comme ça. Peut-être que j’aurais fait le métier qui me plait, qui est pour moi le plus beau métier du monde, c’est instituteur comme elle, elle était institutrice de maternelle. Moi je trouve qu’instituteur, institutrice de cours préparatoire, c’est le plus beau métier du monde, parce que tu donnes la lecture et l’écriture, c’est fou. Très souvent, je lui raconte les jours qu’elle n’a pas vécus. » Je me souviens de mon ancienne institutrice et je pense que si ma maman avait été vivante, pour vivre ça et pour l’accompagner tout au long de la vie, je serais parti sur cette voie. En tous cas, elle me manque évidemment. Très souvent je lui raconte les jours qu’elle n’a pas vécus. Je lui parle, et puis j’ai des signes, j’ai des vrais signes. On peut parler de foi, moi je n’ai pas de religion, entre Dieu et moi, j’ai la foi parce que je sais que ma mère est là et me répond. Je sais que mon père est là et me répond par des signes incroyables. Elle est là mais j’ai un manque éperdu, toujours à la recherche du bonheur. Dans la vraie vie, je ne fais pas des choses très carrées et je pense qu’il me manque une éducation d’une maman, d’une mère, ça c’est sûr. Et au-delà de ça, la tendresse, bien sûr. Quel que soit son âge, on se retourne vers sa maman. Tous les jours je me demande ce qu’aurait dit ma mère. Mais d’un autre côté, tous ces sentiments, ces chansons qui me viennent, je sais que c’est aussi lié à cela, et presque qu’à cela. DDV – Cali, pouvez-vous me dire quelques mots sur votre dernier roman Voilà les anges » ? On a tous des anges qu’on croise. Un seul regard suffit dans la vie et c’est une personne qui te prend par la main, et toi tu peux la prendre par la main. » Cali –Pour Voilà les anges’, c’est assez troublant. J’écris tout à la main, je ne tape pas à l’ordinateur. Sur les deux premiers romans, c’est ma compagne qui a tapé, je les dictais derrière son épaule. Elle ne pouvait pas faire le 3e car elle n’était pas là. Je suis monté chez un ami à Paris qui m’a dit, tu vas rester trois, quatre jours chez moi et on va le taper. Avant d’aller à l’hôtel, je suis allé rejoindre d’autres amis et j’avais mon roman écrit à la main dans un sac à côté de moi, je le tenais fort et quand je suis arrivé à l’hôtel, j’avais perdu mon sac et le seul exemplaire de mon roman. Je l’ai perdu. J’ai pris dans mes bras le gardien de l’hôtel, j’avais les larmes aux yeux et je lui ai dit si je l’ai perdu, c’est que ça ne devait pas être publié, ne pas être montré. » Il pleuvait ce soir-là à Paris. A 3 heures du matin, le gardien frappait à ma porte. Il était allé fumer une cigarette devant l’hôtel, le sac était tombé dans un ruisseau et avait glissé jusqu’à la bouche d’égout, pas très loin, posé là. Il l’a trouvé et me l’a ramené. Voilà les anges ! Après, mon idée c’est que je veux m’amuser toujours, m’amuser, m’amuser. L’idée c’est que, en concert ou ailleurs, les gens m’accompagnent et on a tous des anges qu’on croise. Un seul regard suffit dans la vie et c’est une personne qui te prend par la main, et toi tu peux la prendre par la main. Elle est partie plus loin, puis après, tu as un autre ange qui te prend qui t’amène un peu plus loin. Je sais qu’autour de moi j’ai des anges, vivants ou morts mais ils sont là. C’est un livre beaucoup plus romancé que les deux premiers, je dirais que c’est un livre sur la rédemption. DDV – Voulez-vous ajouter quelque chose à cette interview avant ma dernière question ? Cali –Ce que je veux dire, c’est qu’aujourd’hui, avec la guerre en Ukraine, la COVID, tout cela, nos mômes vivent des trucs dingues et trop durs pour eux. Il faut leur enlever toute cette angoisse, toutes ces infos qui arrivent de partout, leur enlever tout ça et leur montrer qu’il y a le soleil et leur dire que leur vie sera belle. DDV – Vous m’avez devancée. Ma dernière question était la situation actuelle du monde est grave, Cali, c’est quand le bonheur ? » Cali – L’idée c’est ça, c’est se tenir par la main, ne jamais laisser tomber quelqu’un à côté, l’attraper et ça, ensemble, on peut y arriver, quoi qu’il arrive. Informations pratiques, réservations, billetterie Concert de Cali au Festival de Lacoste » Mardi 9 août 2022 à 21h30 Théâtre des carrières Route du château – 84480 Lacoste Localisation Lacoste Date 29 juillet 2022 C'était un grand jour pour Adriana Karembeu. En effet, l'ancien mannequin a fait ses grands débuts, mercredi 27 octobre sur France 3 dans Plus belle la vie. L'acolyte de Michel Cymes tient son propre rôle. "L'idée de cette intrigue, c'est de me faire venir au Mistral pour une campagne de prévention contre le sida", avait-elle révélé à nos confrères de Télé-Star. Dans lesquels épisodes qu'elle a tournés, la star a donné la réplique au beau Simon Ehrlacher, alias le docteur Romain Vidal. "Or, lorsqu'il débarque au studio, il ne sait absolument pas qui je suis, ce que je vais trouver hallucinant ! Nous sommes dans une sorte de Coup de foudre à Notting Hill."Celle qui a fêté ses 50 ans le mois dernier a donné quelques détails en plus à TV Mag notamment sur les scènes d'amour effectuées avec le jeune homme qu'elle a décrit comme un quelqu'un de "génial" et "généreux dans le jeu"."J'ai déjà tourné des scènes romantiques par le passé, mais ce n'est pas régulier. Cela reste donc intimidant pour moi parce que ce n'est pas mon métier. Pour réussir, j'ai essayé d'être le plus sincère possible et d'exprimer les vrais sentiments et émotions que j'ai ressentis dans ma vie afin de les projeter sur mon partenaire. Le reste est venu naturellement." Et qu'en pense son mari ?S'il y a bien un personnage qui ne laisse aucunement la gente féminine insensible, c'est bien Simon Ehrlacher. De quoi rendre jaloux, l'époux d'Adriana Karembeu ? Pas vraiment ! "Mon mari n'est pas jaloux. Il aurait pu l'être, d'autant plus qu'il est Marseillais mais il ne l'est pas du tout", a-t-elle assuré avant de faire part d'une anecdote. "Il m’a demandé comment était 'le jeune', je lui ai répondu qu’il était quelconque !". Des mots rassurants pour le père de sa fille Nina ! À voir également Adriana Karembeu vient-elle de tourner définitivement le dos à Michel Cymes ? Cette étrange annonce de l’animateur qui veut tout dire !La Rédactionà lire aussi Adriana Karembeu ce joli message envoyé par Jean-Luc Reichmann pour son anniversaire Adriana Karembeu dans les bras d’une star de La Casa de Papel

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